« Malko mit bien une minute pour identifier l’étonnant bruit de fond qui régnait dans ce paradis artificiel : un mélange de musique chinoise authentique et du pépiement des innombrables oiseaux. Au milieu, il y avait une minuscule piste de danse, déserte. D’ailleurs, à première vue, à cause des cloisons de verre, l’ensemble paraissait vide. Ce n’est qu’en tendant l’oreille que l’on surprenait des rires, des voix. »