Le lendemain, je repris le chemin de l'école. Ma mère m'avait donné deux poires, l'une pour moi, l'autre pour lui. Mais je quittai l'école en larmes et pleurais encore en arrivant à la maison parce qu'il ne m'avait pas demandé les poires et que je n'avais pas osé les lui offrir.