— C’est peut-être les chiens des romanos. Ils les lâchent dans la forêt. Moi, je les ai vus. D’énormes bergers allemands dressés pour mordre. Le campement se trouve à moins de cinq cents mètres de là.
Depuis longtemps les gens de la région demandent le départ de ces étrangers. Mais le préfet a toujours fait la sourde oreille : les chasser d’ici où ils ne gênent personne pour les envoyer où ? Personne ne veut des romanichels.