Le souffle de l’Orient dévoile déjà ses secrets, ses parfums, sa sensibilité. L’insouciance et le fatalisme s’érigent en art de vivre, principal pilier de la sagesse, à peine révélé. Il peut agacer, subjuguer, il ne laisse pas indifférent, et prolonge son effet dans nos consciences prises par l’obligation du résultat. Mais là, en cette heure précise de ce siècle lointain, l’obstination première est de vivre.