Si je m'efforce de plaquer un sourire sur mon visage et de parler d'un ton léger, je me sens néanmoins embarrassée par notre conversation sur mes parents et oppressés par l'opulence du décor. Les appliques en cuivre poli, les miroirs soigneusement disposés dans la salle qui renvoient les reflets et les fresques en trompe l'oeil m'apparaissent comme autant d'ornements conçus pour offrir une image déformée de la réalité.