Depuis, ce corps mûr et ses seins haut plantés, cette peau sombre et douce, son sexe foisonnant comme sa langue chevelure couleur de miel roussi, avaient enchaîné l'Arabe. Il tentait de se détacher, humilié par l'aimant de cette chair ennemie. Mais les gestes sur le moment elle lui prodiguait anéantissement en lui toute résistance, toute prise de conscience. Il se méprisait - en quoi ai-je été libéré? Je ne me suis jamais senti aussi esclave, aussi étranger à moi même, aussi impuissant. Fuir?