Une femme engagée peut-elle, sans remords et inconfort psychologique, remettre (« abandonner à des mains mercenaires », répétait Fritna, ma mère) son fils de trois ans à la garde de son père et aux soins d’une personne dévouée ? Et s’en aller enquêter sur cette terre lointaine du Viêtnam ? Un homme engagé se serait-il posé la même question ? Et si oui – hypothèse improbable – avec les mêmes données ?