Le pluriel est toujours abstrait : les Portugais ça n'existe pas. [...] En général, quand on veut déshumaniser, on a recours au pluriel, même si parfois l'objectif affiché est l'inverse, mais d'un point de vue général, je dirais que nous sommes un peuple pour qui un étranger n'est pas un être étrange et cela grâce à la présence de la mer.