Vulcain courut aussitôt clopin-clopant vers son armoire, en tira des onguents et des emplâtres qu’il m’appliqua de sa propre main, et, quelques minutes après, mes blessures étaient guéries. Il m’offrit ensuite des rafraîchissements, un flacon de nectar et d’autres vins précieux, comme n’en boivent que les dieux, et les déesses.