Alors seulement, il (Attilio) effleura mes paupières de ses doigts, comme s'il fermait avec pitié les yeux d'un mort. Oui, quelque chose mourait vraiment en moi cette nuit-là : la partie orgueilleuse et mauvaise de mon être, celle qui croyait faire le bien tandis qu'elle semait le mal.
Il conclut :
- Maintenant, ça suffit. Qu'on ne reparle plus jamais de cette histoire.
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