Edouard se leva de son trône sans crier gare. Son visage était écarlate. Et pour qu'il fût si rouge, nul doute que l'acidité du vin et le feu de l'ire se mêlaient juste dessous sa peau. Le Sanguin régnait. Il claqua du poing sur la table. Le hanap et les manuscrits trésautèrent. (p. 45)