Car le peuple, voyez-vous, est ainsi. Le peuple croit tout savoir, tout comprendre, et croit avoir le droit de tout. Quand il ne sait pas ni ne comprend, il se frustre, s’enrage et ne trouve de libération qu’en se soulevant, braillant pis qu’une truie que l’on saigne, lapidant le coupable qu’il ne connaît pas mais qu’on lui indique. Il faut une cible, un appât, surtout pour la royauté en place qui tient à le rester.