Puisqu'il me faut partir, je ne me hâterai point;
je ralentirai l'allure, écourtant mes foulées.
[...]
Je danserai parmi les feuilles de l'automne,
et sèmerai derrière moi,
à la manière des contes,
de bien vaines balises pour que tu me rejoignes.
Stupides cailloux blancs!