AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Guillaume Gonzales (10)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
La Bataille des Forts

J'ai tout simplement adoré... j'ai dévoré ce livre et je me suis prise d'amitié pour les personnages. un premier roman très bien ficelé.. j'aimerais pouvoir avoir une suite puisque l'auteur nous laisse quand meme sur notre faim
Commenter  J’apprécie          80
Viandes et légumes







Léger, léger… Ce plat de « Viandes et légumes » est même tellement léger qu’il n’offre aucune consistance. Les mots s’enfilent les uns à la suite des autres et s’effacent aussitôt, anéantis par une intrigue qui n’a aucun autre but qu’elle-même. Et quelle intrigue, où il est question de la reprise controversée d’un bar à danseuses dans un petit coin paumé en France. Devrait-on frémir à l’évocation de toutes les idées tordues qui envahissent le cerveau du lecteur lorsqu’il s’imagine lire la description d’un bordel sordide ? Même pas. Et ce n’est pourtant pas faute d’essayer. Guillaume Gonzales essaie de nous mettre dans le bain dès les premières lignes :



« Vous allez trouver que j’abuse mais en fait, ça me gonfle d’avoir hérité de ce club de striptease. Peut-être parce qu’une fille y a été tuée il y a huit jours. Découpée à la scie, comme dans les spectacles de magie. Presque comme dans les spectacles de magie. »



Tout de suite, les premières phrases font mouche. Sur la quatrième de couverture, on nous avait prévenus. Ce « Viandes et légumes » est défini comme :



« Un roman doté d’un humour à la Michel Audiard écrit par le fils naturel de James Crumley. »



Rien que ça. Avec de telles références, on est en droit de s’attendre à du noir très noir mâtiné d’une bonne dose d’humour tranchant et acerbe. Mais le plus noir qu’il sera possible de trouver dans ces pages, outre l’atmosphère de suspicion pas très haletante qui nous fait présager des pires manigances dans l’anéantissement du bar, sera la description des soirées dansantes « chaudes » qui ont lieu dans le « Viandes et légumes » :



« Naïma ayant encore tout son attirail sur elle, je vais la décrire tout de suite. Le visage caché derrière un voile rose pastel, elle a encore élargi au khôl ses grands yeux noirs. […] Le haut, soieries bleu azur et soutien-gorge à dentelles noir, laisse apparaître son nombril sous lequel tressaute une ceinture toute de maillons dorés. En dessous, un paréo bigarré pieds nus, l’Orientale dessine des arabesques d’une sensualité qui fait mourir les conversations sur les bouches bées. »



Alors que le lecteur est en train de s’endormir et de s’éloigner dans une paisible rêverie suscitée par la beauté de la description de cette « orgie », on tente de nous réveiller à coup d’humour. Guillaume Gonzales a bien incorporé les règles du jeu du polar à l’humour noir : le jeu de mots qui fait mouche doit être au rendez-vous. On se cramponne, on lit avec appréhension, espérant que la chute sera bonne, et… Encore raté !



« C’est juste une expression. Et si vous ne sortez pas de chez moi très vite, je vais devoir vous botter le cul, ce qui constitue encore une expression puisque, comme vous pouvez le constater, je ne porte pas de bottes. »



Enfin, dans l’alignement des stéréotypes qui caractérisent le roman noir depuis des décennies, n’oublions pas le personnage couleur locale qui s’exprime à la manière du troglodyte arriéré et dont les obsessions fixes (la licorne) sont un enjeu comique propre à susciter le rire du lecteur. Celui-ci, décidemment, ne regrette pas d’avoir troqué sa soirée télé pour la lecture de ce livre aussi abrutissant qu’une émission spéciale années 80 :



« - Stune p’tain d’licorne, ‘pas ? J’déteste ces sal’peries d’licornes mi… »



Le cerveau du lecteur, comme lorsqu’il se trouve devant l’écran de sa télé, décide alors de se mettre en veille, jugeant pour lui qu’il vaut mieux se reposer que de se fatiguer à essayer de trouver du sens à ce qui n’en a pas. Le lendemain, au réveil, le « Viandes et Légumes » se trouve là, culbuté par terre. La page est perdue, impossible de la retrouver, toutes se ressemblent. Alors tant pis, on range le livre dans un coin perdu de sa bibliothèque et on oublie. La vie continue.
Lien : http://colimasson.over-blog...
Commenter  J’apprécie          40
La flore et l'aphone

Il y a bien trop longtemps que je n’avais pas lu un roman de cher Kyklos éditions. J’ai enfin pu réparer cette erreur car en ce début d’automne sont sortis deux romans de cette maison d’édition si chère à mes yeux. Oui, j’ai un petit faible pour Kyklos car à chaque fois que je découvre un livre chez eux, j’ai une belle surprise. Oui Kyklos c’est l’occasion de découvrir des textes engagés et des voix dissonantes. Et c’est donc sans appréhension que je me lance dans ces nouvelles lectures.

La première est pour moi l’occasion d’aller à la rencontre d’un auteur que je n’ai jamais lu, pourtant il en est à son troisième roman. Mais bon il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Cet auteur c’est Guillaume Gonzales et le livre La flore et l’aphone.

Alors que la Terre, touchée par un mal étrange, est le théâtre d’un déchaînement de violence, un étudiant nonchalant découvre son rôle dans un monde où il n’était jusque-là que spectateur.

Difficile de raconter ce livre sans trop déflorer l’histoire. Sans trop spoiler comme on dit maintenant. On va suivre l’histoire d’un jeune homme sans histoire, un étudiant en théologie qui bosse sur sa thèse tout en profitant au maximum de la vie estudiantine, entre pote, bière et soirée. Et même si comme beaucoup d’étudiant, il ne roule pas sur l’or, la débrouille entre potos fait l’affaire. Un seul problème, ces incessants saignements de nez et ses céphalés. Mais il compose avec tout cela, il tire même parti de son handicap et son nez rougi jusqu’au jour où…

Notre étudiant est kidnappé et où on lui explique que lui et ses problèmes de saignement de nez intéresse les milieux militant alternatifs mais pas seulement. Car oui il est EHS et souffre d’ Electro Hyper sensibilité.

Voilà pour le début

Le contexte maintenant. Nous sommes ici soit dans un passé proche alternatif, soit dans un futur très proche qui nous pend au nez ! Dans un régime démocratique qui n’en a plus guerre que le nom. Dans la globalisation totale règne en maître. Où les pauvres sont de plus en plus pauvre et les riches d plus en plus puissants.

Aussi avec tout cela Guillaume Gonzales entraîne son personne et nous entraîne avec dans une histoire surréaliste qui pourtant reste tellement vraisemblable. Où comment un simple quidam devient du jour au lendemain un héros ou plus exactement un anti-héros.

De plus, cette intrigue que j’appellerai d’anticipation est servi par une écriture taillée au cordeau et un style littéraire des plus agréable.

Oui vraiment cette première lecture de cet auteur est une très très belle découverte.

Guillaume Gonzales est un type que je vais suivre de près maintenant.

Merci à Virginie et au éditions Kyklos pour cette fabuleuse histoire et ce très beau texte.
Lien : https://collectifpolar.com/
Commenter  J’apprécie          20
Viandes et légumes

Un titre décalé et pourtant bien en rapport avec son sujet, surtout si on extrapole un peu en prime. "viandes et légumes" pour un bar à hôtesses fallait oser quand même.

Et rassurez-vous (ou pas), il n'y a pas que le titre qui est loufoque. Toute l'affaire racontée ici dans cet ouvrage est un peu folle. Entre les cadavres, les victimes, les voyous de province et un village reculé, on n'est pas sorti de l'auberge comme on dit.

Si on rajoute un style non dénué d'humour à cet ensemble, on obtient donc un roman de type polar peu ordinaire.



L'écriture est un peu particulière. J'ai eu l'impression de voir les personnages et les décors comme issus d'un dessin animé du style "les triplettes de Belleville". C'est assez difficile de décrire ce ressenti qui reste très visuel.

J'ai assez vite saturé en revanche au niveau de l'humour. Il n'était pas déplaisant au départ, mais au bout de 50 pages, j'en avais fait le tour ou presque et donc 280 pages ainsi, c'est l'indigestion ou peu s'en faut.

Dommage, il y avait du potentiel.

Il y avait de l'inventivité.

En bref, il y avait pas mal de qualité dans cet ouvrage qui aurait pu me plaire, seulement voilà, la "mayonnaise" n'a pas prise cette fois. Mauvais timing entre mon humeur, mes attentes et le récit en lui-même ? Possible.



Le prénom du narrateur par exemple, Galaad, est beau, peu courant. J'apprécie ce sens de la recherche, de la volonté de se démarquer un peu, de vouloir créer un véritable univers pour un récit.

Et il y a de nombreux détails de l'intrigue en ce sens, mais cela n'a pas été suffisant hélas pour véritablement me captiver sur la durée. Hélas...

Je n'ai pas pu me sentir proche d'un seul personnage, ils ont tous un grain ou alors sont trop éloignés de ma propre personnalité. Il faut bien dire aussi que rien n'est complètement banal dans cette aventure. Ce serait même plutôt le contraire.



Ce qui fut pour moi peu attractif, en fin de compte, peut en revanche l'être pour un autre lecteur. Ce roman n'est pas mauvais du tout, je ne suis certainement pas la bonne lectrice pour lui, c'est tout. Cela arrive et n'enlève rien aux qualités de l'oeuvre écrite.
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
Commenter  J’apprécie          20
Viandes et légumes

Avant de commencer cette chronique, je tiens à remercier les éditions Kyklos pour la découverte de ce roman en avant-première.



Viandes et légumes, c’est Galaad, un jeune homme, diplômé et dans le bâtiment, et qui après s’être fait plaqué par sa copine pour son patron, reprend l’affaire de son grand frère Arthur qui vient de décéder. Arthur tenait un bar à danseuse à Brou, petite ville de province, et il ne s’y est pas fait que des amis. Lorsque Galaad arrive, il doit s’occuper et de son commerce et des autochtones qui veulent sa fermeture.



Ce roman qui est une sorte de polar un peu décalé vous emmène dans l’univers mafieux de province où les notables bien respectables s’encanaillent. Mené par une écriture légère et fluide, nous poursuivons le personnage à la recherche de la paix dans un coin tranquille de France. Rattrapé par le passé de son frère, il encaisse au début les coups, au sens littéral du terme, puis se met à battre la campagne pour connaître, savoir, et punir, les meurtriers qui s’en sont pris à Arthur. Les personnages qui peuvent paraître très caricaturé aux premiers abords sont faits d’un mélange complexe de bonté, de méchanceté, de compassion et de bêtises, certains arborant une qualité plus qu’une autre bien sûr.



L’histoire est faite de rebondissements amusants, et de surprises en surprises, vous emmenant d’un côté et de l’autre, au fil des pages qui filent, vous n’osez plus lâchez le livre jusqu’au dénouement. Les péripéties de Galaad vous poussent à rire des situations parfois abracadabrantesques, mais plausibles pour finalement vous sortir de votre étonnement par un retournement qui tombe à point nommé. Viandes et légumes, vous l’aurez compris, fait énormément dans la barbaque, entre les corps sensuels des effeuilleuses ou de la petite amie de Galaad, jusqu’au corps meurtri de notre héros après une bonne trempe.



Ce roman ne possède que des qualités, entre une écriture réaliste et facile, une histoire travaillée et des personnages attachants, il ne peut être confronté qu’à un succès mérité. Viandes et légumes est à lire, absolument, le Professeur sera là pour s’en assurer…



Je remercie l’équipe de Kyklos pour cette lecture passionnante.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
Commenter  J’apprécie          20
La Bataille des Forts

Road trip, comics et mythologie



Le moins que l’on puisse dire c’est que l’on rencontre des personnages plutôt … inattendus dans La bataille des forts. Jugez plutôt : une médium indienne, un serial killer fan de comics, un « enquêteur » sorti tout droit d’un asile, et notre héros, Arthur White, dessinateur de comics à succès. Malheureusement, ce qui les réunit est dramatique : le « Voyageur » assassine la fille de l’auteur de La bataille des forts, sa BD préférée. Le dessinateur Arthur White perd alors pied et se retrouve à l’asile. C’est là qu’il rencontre Pharos, génie obsessionnel qui se met en tête de retrouver le meurtrier… En tout cas, ce doux dingue est plus acharné et doué qu’une équipe du FBI! Méthodique et enregistrant le moindre visage, il va se lancer sur la piste du tueur fou…



Le point fort de cet ouvrage réside ainsi dans ses personnages, originaux et bien campés. Comme dans un thriller, on découvre le Voyageur, qui élabore des stratagèmes pour mettre en confiance ses victimes puis les tuer selon des rituels sadiques et sanglants - allant jusqu’à tuer une petite fille et sa mère. Mais attention, La bataille des forts n’est pas du tout un polar classique. La poursuite du meurtrier, même si elle reste le fil rouge, est un prétexte pour observer des protagonistes très différents, et leurs points de vue sur une même intrigue. On baigne dans l’univers des comics avec Arthur White, le dessinateur, qui se rend à des conventions et crayonne ses héros tout au long du livre. La mythologie est aussi omniprésente : le tueur possède plusieurs versions de l’Iliade, la BD de White est un « salmigondis où s’entremêlaient mythologie grecque, tarots de Marseille et super-héros », et dès le début, une certaine Cassandre révèle au héros que sa fille court un grand danger…



Avec la fuite perpétuelle du Voyageur, on a l’impression d’être dans un "road movie", qui nous entraîne sur les routes américaines. L’intrigue se déroule peut-être un peu vite, ne laissant aucun suspense lors de la confrontation finale… Dommage, car La bataille des forts a le pouvoir de vous immerger facilement dans son univers unique et ses drôles de personnages qu’on suit comme de vieux amis. Même si l’on reste un peu sur notre faim, le côté non conventionnel du livre vaut le détour… et même si c’est aux côtés de personnages déjantés ou d’un tueur, on apprécie le voyage !
Commenter  J’apprécie          20
Viandes et légumes

Corentin Gallad, le narrateur, dont le frère David vient d'être assassiné, hérite du Viandes et légumes, un club de strip-tease situé à Brou, une petite bourgade d'Eure-et-Loir. Venu prendre possession des lieux, il va rapidement s'apercevoir que quelqu'un cherche à lui nuire.

Guillaume Gonzales nous propose là quelque chose d’original. Un roman au style déjanté où son humour de l’auteur à quelque chose à voir avec celui d'Audiard. Polar où la poésie affleure à chaque page. M^me si celle-ci est parfois froide voire sombre. Car ici c’est un regard curieux que l’auteur jette sur notre société est totalement décalé. Vous l’aurez compris nous somme là dans un polar bien singulier qu’on lit d’une traite bercée par les mots de l’auteur. Une curiosité qui je l’avoue m’a beaucoup plu.


Lien : https://collectifpolar.com/
Commenter  J’apprécie          10
Viandes et légumes

Galaad vient d'hériter d'un bar à strip-teases à Brou, petit bled d'Eure-et-Loir.

Travaillant dans le bâtiment, il n'est pas vraiment préparé à reprendre l'affaire, d'autant plus que son frère, à qui appartenait « viandes et légumes » (c'est le nom du bar) s'y est pris une balle dans la tête, qu'une de ses employées y a été découpée en morceaux et qu'une autre est dans le coma.

En se rendant sur place, il fait la connaissance de son principal concurrent, un petit malfrat local qui en a déjà profité pour débaucher ses strip-teaseuses et tente d'entrée de jeu de le racketter.

Mais que fait la police ?

Bah rien justement.

Têtu, Galaad va donc à son tour embaucher des gros bras pour se protéger et pouvoir rouvrir le bar...





En se fiant à ce bref résumé on pourrait se croire dans un roman noir sur la mafia mais ce serait sans compter sur le coté loufoque et décalé que l'auteur imprime à l'histoire. De la castagne et des mafieux oui, mais burlesques. Un ton détaché et des dialogues teintés d'humour pour pimenter le tout.

Hélas, l'humour de l'auteur ne m'a pas trop amusée (je l'ai trouvé un peu lourd) et l'histoire abracadabrante (surtout la fin) ne m'a pas emballée plus que ça.

J'y ai vu un petit roman sympathique, sans prétention et distrayant mais qui ne casse pas des briques.

Question de goût ou mauvais timing de lecture...??
Lien : http://lesgridouillis.over-b..
Commenter  J’apprécie          11
Viandes et légumes

Mon avis (Janvier 2012) : Décidément, si chacun d’entre – nous a ses auteurs de prédilection, on peut aussi s’attacher à un éditeur, dès lors que l’on se passionne pour ses choix. A plusieurs reprises, Partage Lecture et les éditions KYKLOS m’ont fait l’honneur de me faire participer à un partenariat me permettant ainsi de découvrir ce petit bijou d’humour et de chroniques sociales.

2ème voire 3 ou 4ème degré donne à cette satire sociale une passionnante fraicheur. Les personnages sont caricaturaux (à peine) d’une bourgeoisie provinciale. Tout commence avec la mort d’Arthur, obligeant son frère à devoir s’occuper de ses affaires. Et diriger une troupe de strip teaseuses ne s’improvise pas, d’autant plus lorsque la concurrence locale montre les dents.

Et, l’auteur nous explique donc cet apprentissage, avec, comme pour tout roman se respectant, une histoire d’amour naissante mais aussi une enquête policière (à mourir de rires). Les rebondissements se succèdent au même rythme que la progression d’un gastéropode (oui, l’humour de Guillaume Gonzales et contagieux).

Qu’écrire de plus sur ce roman, si ce n’est que l’auteur nous dévoile par petites touches, des personnalités bien plus complexes, que nous aurions pu l’imaginer en commençant les premières pages.

Simple et sobre, l’écriture de Guillaume Gonzales reste donc un véritable plaisir, que je conseille vivement à tous.


Lien : http://leslivresetlemonde.bl..
Commenter  J’apprécie          10
La Bataille des Forts

J’ai été agréablement surprise par cette lecture. J’ai littéralement dévoré ce roman. La bataille des forts est un bon polar au scénario bien ficelé et aux personnages très bien campés, avec une réelle personnalité qui évolue au fil de l’histoire, et en plus cela ne concerne pas que les personnages principaux, mais également les personnages secondaires, ce qui révèle une certaine qualité d’écriture.

Pour un premier livre, Guillaume Gonzales a fait fort, et j’ai hâte de pouvoir lire ses prochains ouvrages. D’autant que la fin du livre peut lui permettre d’écrire une suite à son oeuvre. (j’ai adoré ce final) S’il y a une suite, je serai la première à me jeter dessus.

Un bon livre, une belle découverte que je conseille à tout ceux qui aiment les romans policiers.
Lien : http://www.alexiel-in-wonder..
Commenter  J’apprécie          10


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Guillaume Gonzales (12)Voir plus

Quiz Voir plus

Tout sur one piece (difficile)

quel est le 1er homme de l équipage de Gold Roger ?

baggy le clown
shanks le roux
silver rayleigh
crocus

30 questions
3590 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}