et le Gaulois, les lèvres collées contre les trous de sa tente, râlait d’épuisement et de mélancolie. Il songeait à la senteur des pâturages par les matins d’automne, à des flocons de neige, aux beuglements des aurochs perdus dans le brouillard, et fermant ses paupières. Il croyait apercevoir les feux des longues cabanes, couvertes de paille, trembler sur les marais, au fond des bois.