Charlotte ferme les yeux, ses lèvres dessinent une moue qui lui donne un air juvénile. Ceux qui l'observent par la fenêtre du fiacre, y lisent une tristesse peut-être un regret. Elle regrette seulement que le geste n'ait pas porté plus loin que le tronc des carotides. Qu'il n'ait pas anéanti le mal au coeur du mal.