Il n'y a au Tarot , ni vainqueur ni perdant, un mât, certes, mais pas d'échec : c'est soi-même que l'on joue, un soi multiple, kadeidoscopique, dissocié en figures impersonnelles dont les combinaisons offrent un miroir où contempler toujours un nouveau visage, miroir où contempler toujours un nouveau visage, une nouvelle histoire,un nouveau possible.