Au matin du lundi suivant - le 27 mai 1895 - je fus confronté à toute l'horreur de ma situation. J'avais fréquenté les princes, dormi dans des draps fins, respiré des flagrances subtiles. J'avais bu les meilleurs champagnes, m'étais nourri de homard et de caviar frais. A six heures, ce jour-là, je m'éveillais dans ma cellule de Newgtate et fumai ma dernière cigarette.