Hajime Kazu

Kurusu mène une double vie entre tueur à gage et papa poule. Cette situation est subie. Il doit tous les jours supprimer des "méchants" en leur volant leur chance afin de la donner à sa fille qui sans cela serait condamnée à mourir. Mais comment être sûr de ne tuer que des criminels? Manga facile à lire, on s'attache aux personnages.


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Il existe un homme que l'on engage dès que l'on veut se débarrasser de quelqu'un en toute discrétion. Ses victimes périssent à tous les coups dans des accidents. Son surnom est Luck Stealer. En fait, derrière le nom, se cache un jeune homme de vingt-trois ans au don étrange : chaque contact peau contre peau lui permet de voler la chance de ses victimes. Si le contact se prolonge assez longtemps, la personne qu'il aura touché décédera à coup sûr dans un accident. En plus de cette malédiction, il en a une autre à porter : sa fille de sept ans est née sans chance. Chaque jour, elle est en danger de mort. Sa seule chance de survie, son seul pouvoir, est d'absorbée la chance de son père uniquement. Alors, par amour pour sa fille, chaque soir, Luck Stealer sort éliminer des criminels en absorbant leur chance afin de "nourrir" sa fille et ainsi la garder en vie.Le principe de ce manga est original et intéressant. Le personnage principal est attachant et l'on comprend les raisons qui le pousse à tuer. En plus de chaque cas, l'on voit se dessiner très discrètement une intrigue principale. A suivre donc.

C'est bien la première fois qu'un manga me fait monter les larmes aux yeux ! Avec les derniers souvenirs que Yûsei revisite, on apprend comment sa femme est décédée et c'était juste super émouvant. Après, on le voit qu'il doit faire équipe avec un autre tueur à gage du Flamingo, plutôt immature. un sixième tome à la hauteur, avec action et sentiments.

Lors d'un contrat un peu spécial, Yusei fait la connaissance de Loa, une jeune américaine missionnée par une Eglise étrange qui est à la recherche d'un être mythique : la Gracia. Un être proche de Dieu, qui a le pouvoir de vie et de mort sur ses semblables d'un simple contact. Le jeune homme y voit un moyen d'en apprendre plus sur ses pouvoirs mais il comprend aussi qu'il doit cacher l'existence de sa fille.Chaque tome m'accroche un plus. Derrière les simples contrats, la trame principale se développe et se complexifie, amenant son lot de questions. Une série qui s'améliore de tome en tome.

Alors que Karin commence à se rendre compte que quelque chose cloche chez elle, son père se souvient de sa propre enfance, des tragédies qui l'ont jalonnée, de la découverte de son propre pouvoir et de sa rencontre avec la personne qui changera sa vie : la mère de Karin. Ces flashbacks amènent une pause dans l'histoire et permettent de dresser un portrait plus profond de Yusei.

On suit Yusei de contrat en contrat. Parmi l'un des personnages récurrents, on retrouve Amakasi, héritier d'une famille de Yakuza qui semble avoir appris beaucoup de chose au Luck Stealer. il met à l'épreuve Yusei et on comprend qu'il a un projet pour celui-ci, mais cela reste bien énigmatique pour le moment et on ne peut que se demander ce que c'est. L'arrivée de ce fil rouge me plait beaucoup et calme un peu mes craintes d'avoir à faire à une série aux chapitres courts qui se serait vite essoufflée.

Dans ce tome, nous sommes toujours plongés dans le passé de Yûsei. Nous revivons les premiers mois de la vie de Karin, ses accidents et le moment où il découvre d'où vient le problème de sa fille. C'est aussi la période où il comprend ce qu'il doit faire pour la sauver.L'histoire est toujours aussi prenante pour moi. Cette fois-ci, peu de violence, pas (beaucoup) de morts. Yûsei mûrit et doit prendre ses responsabilités, faire des choix. On comprend un peu mieux ce qui l'on conduit à devenir Luck Stealer.

Avec quelques héros intéressants, et de nouveaux qui ne demandent qu’à le devenir, la série prend un virage plaisant. D’autant que, si le dessin parait parfois un peu simple avec ses décors rares ou sommaires et ses personnages aux traits clairs et fins, on s’y habitue très vite et très facilement.
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Ce cinquième volume continue donc, comme l’avait initié le précédent, à nous raconter les débuts de Yûsei et c’est – malgré les quelques malheurs qui auront été nécessaires pour que tout se tienne et se mette en place – plutôt du positif qui est au programme.
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Un tome « spécial origine » qui donne un peu plus d’explication sur le passé du héros.


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C’est donc un bon, original et bienvenu tome que ce tome 4. Si vous avez suivi et apprécié la série Luck stealer jusque là, c’est sans hésiter que vous pouvez acquérir ce volume... et attendre impatiemment la suite !
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Le dessin est toujours agréable et étonnant. Avec ses décors limités au plus simple, l’ambiance est unique. Une lecture conseillée à tous ceux qui cherchent un peu d’originalité.
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