Splendides s’étagent les monts et les torrents,
Mystères des bleus-verts sous le verrou des brumes.
Le brouillard caresse mon serre-tête en gaze,
Ma pèlerine en paille, humectée de rosés.
J’ai les pieds chaussés de sandales vagabondes,
Et une tige en rotin me sert de canne.
Je considère encor le siècle poussiéreux :
Ce pays n’est qu’un rêve où je n’ai plus de rôle !