Les nues et les monts s’entassent, touchant au bleu du ciel.
Le chemin oblique et dans le bois s’enfonce, où ne flâne aucun promeneur.
Je regarde au loin le crapaud dans la lune claire et blanche
Et tout près, j’entends les oiseaux qui gazouillent.
Vieillard tout seul assis, perché sur un piton vert,
Oisif dans ma petite grotte, je laisse mes cheveux blanchir.
Ce que j’ai jadis admiré et que j’admire encore,
Cest que ne pas avoir de pensées ressemble tant aux fleuves qui coulent vers l’orient...