Il n'est jamais simple de revenir chez ses parents : on a vite fait de se sentir dépouillé de tout ce qu'on est devenu. Pourquoi, dès la porte franchie, est-on renvoyé au passé et envahi par sa personnalité d'autrefois ? Comme si le fait de pousser la porte familiale était déjà une régression en soi. (p 99 - 100)