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3.33/5 (sur 3 notes)

Nationalité : Grèce
Né(e) à : Rome , 1957
Biographie :

Haris Vlavianos est né à Rome en 1957, de parents grecs. Son enfance est ponctuée de voyages entre l’Italie et le Brésil.

Il a étudié la philosophie et l’économie à l’université de Bristol (B. Sc) puis les sciences politiques (M. Phil) ainsi que l’histoire et les relations internationales (D. Phil) à l’université d’Oxford (Trinity College). Sa thèse est intitulée Greece 1941-1949 : from Resistance to Civil War.

Il est l’auteur d’une dizaine de recueils de poésie – traduits dans plusieurs langues –, notamment Vacances dans la réalité (2009), qui a remporté le prestigieux prix du magazine littéraire Diavazo et Autoportrait d’un Blanc (2018), prix de l’Académie d’Athènes, prix du magazine littéraire Anagnostis et prix du meilleur recueil de poésie de la chaîne de librairies grecques « Public ».

Traducteur de Walt Whitman, Ezra Pound, T.S. Eliot, Michael Longley, Wallace Stevens, John Ashbery, Carlo Goldoni, William Blake, Zbigniew Herbert, Fernando Pessoa et E. E. Cummings, il est aussi rédacteur en chef du grand journal littéraire Poetics qui a reçu en 2018 la distinction d’honneur du comité du prix d’état grec.

Haris Vlavianos s’est aussi vu décerné le titre de « Cavaliere » en 2005 par le Président de la République italienne pour sa contribution à la promotion de la littérature et de la culture italienne en Grèce.
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Bibliographie de Haris Vlavianos   (3)Voir plus

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Comme on sait, Hitler nourrissait une haine aveugle pour les juifs, les communistes, les Russes et, plus généralement, les Slaves. Il éprouvait un complexe d’infériorité face à des nations comme l’Angleterre ou les États-Unis, et son respect se muait facilement en envie. Ce qui l’intéressait avant tout, c’était l’autorité du Führer, la manipulation des masses, la propagande, la place du NSDAP – le parti nazi – par rapport aux autres formations d’extrême-droite allemandes, ainsi que l’attitude de certains de ses compagnons envers ses propres
ambitions politiques. Et par-dessus tout, la « régénération » de l’Allemagne ainsi que son rôle dans la nouvelle Europe qu’il entendait créer. Toutes ces
Idées s’accompagnaient, cela va de soi, d’une bonne dose de complotisme, de croyances ou d’affirmations dogmatiques sur « la pureté du sang et de la race »,sans parler de théories pseudo-scientifiques en matière d’eugénisme.
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Nous devons à tout prixb préserver la pureté de
notre race. Ce n’est que par le sang que se mesure la.force ou la faiblesse de l’homme. Les peuples qui ne reconnaissent pas ou qui ne distinguent pas leurs
origines raciales me rappellent ces gens qui s’obstinent à attribuer à un caniche les qualités d’un lévrier : ils semblent ignorer que la docilité du premier et la
vitesse du second ne sont pas des éléments qui s’acquièrent avec de l’entraînement ; ce sont des traits raciaux. Tant que les Allemands refuseront de préserver la pureté de leur race, ils nieront leur identité.
En conséquence, la nation allemande ne pourra pas
renaître tant qu’elle ne réglera pas une bonne fois pour toutes son problème racial et, par extension, la question juive. Le problème racial n’est pas seulement la clé de voûte de l’Histoire du monde, c’est celle de
la civilisation humaine dans son ensemble.
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Celui qui n’a pas été à la guerre ne peut guère savoir ce que ça signifie de mourir pour la patrie. J’ai aussi appris que Jünger a publié son ouvrage à compte
d’auteur, ce qui le rend d’autant plus digne d’estime.
Malgré tout, ce qui m’impressionne le plus chez lui,
c’est sa détermination et son sens du sacrifice. Il a beau avoir été blessé à maintes reprises, il n’a pas manqué de reprendre le combat sitôt remis. Je suis
curieux de voir combien de balles il aura reçues dans le corps en lisant son livre jusqu’au bout.
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Sa volonté farouche d’exister et
son désir d’accroître à tout prix sa suprématie favorisaient la stratégie du Drang nach osten, autrement dit
la conquête d’espaces limitrophes en Europe centrale
et orientale. L’Allemagne du Kaiser Guillaume II avait
déjà recouru à cette tactique en 1914, mais elle avait
échoué. Hitler l’adopta de nouveau en 1939, insistant
sur la nécessité pour l’Allemagne d’acquérir un
« espace vital » (Lebensraum) en Europe de l’Est. Or
cette idée n’était pas neuve, elle non plus.
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Les femmes me laissent parfois pantois : comment est-il possible
qu’elles préfèrent un rat de bibliothèque à un homme
d’action ? Qu’est-ce que cet intellectuel falot a deplus que moi ? À quoi le savoir sert-il s’il ne débouche pas sur des actes tangibles ? Qu’est-ce que Faust a
gagné à passer toute sa vie dans les livres ? À vendre son âme au diable ! Goethe le savait bien mais la belle Erna, elle, persévère dans l’erreur !
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Ils devraient plutôt expulser les pantins de Berlin ! Ce sont eux les traîtres ! Ce sont eux qui ont trahi notre patrie pour sauver leur peau ! Ce sont eux qui l’affaiblissent tous les jours en acceptant les humiliations que nous imposent la France et ses
alliés ! Ils devraient plutôt traquer ces vampires que sont les Juifs !
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« Contrairement à ce qu’on croit, la politique n’est pas l’art du possible ; c’est l’art de l’impossible. »
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Enfin les Français ont quitté la Rhénanie ! Ces salauds de bouffeurs de grenouilles peuvent bien rentrer chez eux maintenant ! Cela étant, ils le paieront cher : je n’oublierai jamais qu’ils nous ont roulés dans
la farine et qu’ils ont tout fait pour nous humilier.
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Bien sûr, l’ultime manœuvre du
Juif consiste à défendre le parlementarisme : il sait que les incapables et les lâches qui se serviront de ce biais pour arriver à leurs fins sont nombreux, et il sait qu’il fera aussi d’eux des pantins.
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Ce n’est pas moi qui suis accusé de « haute trahison », mais tous ceux qui ont courbé l’échine et commis le crime de se rendre sans conditions en novembre 1918. Le peuple les châtiera comme ils le méritent.
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