La mort est comme un coup de masse, de la destruction pure. Elle frappe, vous êtes terrassé, vous vous relevez pour reconstruire. Mais ne pas savoir – le doute, le flou –, c'est un peu comme l'action des termites ou d'un germe insidieux. Ça vous ronge de l'intérieur. On ne peut pas empêcher la pourriture de proliférer. On ne peut pas reconstruire car la mort continuera son érosion.