Il ne restait que l’amour. Que cet ineffable mystère qu’on appelle Amour – avec un grand A pour dire combien il nous dépasse – et qui ne se trouve nulle part ailleurs qu’en soi. Lorsque tout s’en va, il reste cet Amour. Ce tronc ne casse pas sous les vents, n’est pas emporté par le temps, plutôt, il reconstitue inlassablement ses branches.