IL EMANE DE L’AIR SEC…
Il émane de l’air sec
un paysage d’outre-monde.
Et tu es dans ce monde celui,
sans lequel je me noie.
Folle est la vie comme
la partie qu’on perd,
mais qu’on reprend toujours,
sans savoir y gagner.
À contretemps, tu chantes :
« là, plus haut
au plus près, plus haut ! »
Là haut…
Je te rejoins au moment,
où ma voix, faiblissante,
a besoin de la tienne,
pour survivre à l’écho.