Là, je m'étends, et j'ouvre le vieux bouquin ramassé en partant. Je l'ai pris sur l'étagère où Jamie a stocké les "livres de la plage". Ce sont les bouquins qu'on peut abîmer, perdre, mouiller, salir. Celui que j'ai pris est énorme, il s'appelle La mère. ça doit être chiant, mais j'aime bien la couverture : c'est un mignon bébé chinois sur le dos de sa mère.