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Critiques de Helmut Berger (11)
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Helmut Berger, autoportrait

On a revu récemment Helmut Berger une des icones des années 70 dans le Saint Laurent de Bertrand Bonello… pour ses 70 ans les éditions Séguier ont publié l’autobiographie d’un acteur à la réputation sulfureuse et mondaine, dans lequel l’acteur longtemps considéré "comme le plus bel homme du monde" se dévoile et n’hésite pas à aller au clash avec les personnalités qui ont croisé sa vie et de Noureev à Picasso, la vie de Berger ressemble à un vrai who’s who des plus grandes star de cette époque ..



Berger n’a pas la langue dans sa poche, et ses confidences sont souvent frappées sous le sceau du vitriol et souvent de la rancœur



Ainsi, Delon n’est pas épargné, en tant que jaloux qui « voulait vraiment me prendre le grand amour de ma vie, le cinéaste de génie, le si spirituel, le tendre et élégant Luchino Visconti. Delon n’avait rien à offrir, il voulait juste les meilleurs rôles.

De même la Callas est peinte comme une vraie commère qui voulait en apprendre le plus possible sur la vie intime des autres, même ceux qu’elle ne connaissait pas. Une vraie commère!

Mais Berger arrive aussi à nous montrer une facette plus sensible, lorsqu’il évoque la disparition à 32 ans du grand amour de sa vie, ou des différentes fêlures et regrets qui ont traversé sa carrière.



Bref, un livre captivant dans lequel Helmut Berger dévoile une autre facette que celle du fêtard notoire et bisexuel assumé qui lui colle un peu trop à la peau.



Helmut Berger - autoportrait, aux éditions Séguier

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Helmut Berger, autoportrait

Dans mon souvenir, l'acteur n'avait pas une présence scénique ou un jeu absolument remarquables. Bref, il était loin d'être une méga-star interplanétaire. Et pourtant, il s'exprime comme s'il était une diva sublimissime et rares sont les phrases où il n'y a pas au moins une fois "je". Nous avons droit aux caprices amoureux, à la description de toutes les drogues auxquelles il a gouté et à leurs effets, à des recettes de cuisine.

Décidément, Alain Delon est beaucoup plus intéressant et lui, oui, est une superstar.
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Helmut Berger, autoportrait

Plaisir presque coupable à la lecture des mémoires de la "veuve" autoproclamée de Visconti. Qu'elle est mauvaise !

C'est plutôt écrit avec des moufles, ça part un peu dans tous les sens comme un delire envapé, un rêve de jet-set 70's au name-dropping en vase clos, Monsieur Berger admettant seulement la compagnie de gens beaux et ayant de l'esprit. Ou seulement riches et célèbres?

L'homme le plus desirable de son temps traverse l'époque avec excès en tous genres et répliques assassines (entre deux rails de coke sniffés avec une paille en or Bulgari s'il vous plaît).

Des figures floues traversent le champ de son regard esthète, assassinées ou magnifiées en quelques formules, de Callas à Marisa Berenson en passant par Romy Schneider ou Bianca Jagger.

Mention spéciale pour le portrait, fielleux à souhait, d'un Delon sans foi ni loi manipulant leur mentor commun Visconti.

Mais que retenir de profond, de sincère, de vrai, dans cette trajectoire qui semble toute vouée à la forme et à la frivolité extrêmement satisfaite d'elle-même. D'une époque, d'un monde, d'une telle beauté pervertie ne reste qu'une carrière erratique ( trajectoire qui va quand même des Damnés ou Ludwig aux choucroutes du feuilleton Dynastie ou aux Prédateurs de la nuit de Jess Franco). Un vieux monsieur perdu dans ses souvenirs, aux saillies encore virulentes et d'un mauvais esprit réjouissant. Et quelques éclaircies pudiques et récurrentes sur Visconti, le maître, dont la mort et l absence l'ont laissé détruit. Helmut Berger semble passé de l autre côté depuis longtemps, témoin précieux d une époque révolue, in extremis émouvant.

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Helmut Berger, autoportrait

L’homme jette un regard dans le miroir au tain patiné par les souvenirs d’une vie, une longue vie d’acteur à présent derrière lui.

C’est du passé maintenant, les excès sont finis, hormis les petits porte-bonheur qui l’aident à ne pas se noyer dans le flot de ses pensées. Aujourd’hui, tel un gourou, il se s’accorde plus que quelques moments forts, triés sur le volet. Aux frontières de l’ennui, même. Balançant du Festival de Salzbourg aux boutiques de la Côte d’Azur et repartant avec des valises remplies de nouvelles acquisitions, partageant encore des cérémonies de thé qui dureront des heures, agrémentées de conversations marquées par des retours en arrière.

A soixante-dix ans, il est maintenant un homme d’un certain âge, et qui assume les stigmates d’une vie faite d’excès…

La silhouette irréelle, toujours d’une l’élégance naturelle, il sera d’ailleurs nommé par deux fois « l’homme le mieux habillé du monde » par le « Women’s Wear Daily » magazine de mode américain… Lui qui, dans ses fantasmes rêvait d’être une femme fatale… fatale fut sa vie sexuelle.

Très tôt, le jeune Helmut Berger voulait devenir acteur. Ses jeux de déguisements enfantins avec les habits de sa mère ont très vite conduit les parents Berger à lui faire passer ce goût de la comédie. « Le métier d’acteur, un métier de pauvre ! » scandait le paternel en lui donnant la fessée… C’est à cette époque qu’il développera un certain « je-m’en-foutisme »… Mais toujours, lors de fêtes costumées, il était la femme fatale en collants et escarpins… Cela attristait les parents.

L’enfer lui entrouvrit les portes… Il fut placé dans l’internat d’un établissement catholique. L’enseignement était prodigué par des prêtres vêtus de noir auxquels il devait rapporter ses rêves « sales » lors des passages obligés au confessionnal. Pendant plusieurs années il souffrira de sentiments de culpabilité à cause de ses fantasmes sexuels… Ah ! Cette éternelle morale judéo-chrétienne, la culpabilité et l’expiation ! Il lui faudra des années pour se débarrasser des effets de cette doctrine. C’était l’enfer comme à l’armée.

C’est avec un diplôme hôtelier sous le bras qu’il officia dans un emploi de serveur dans un Mövenpick pour aussitôt rebondir dans un hôtel de luxe à Davos…

L’ange sortait de son cocon… L’archange allait prendre son envol.

Après un saut sur l’île anglo-normande de Jersey, en 1963, avec le concours financier de ses parents, il gagnera Londres. Londres, capitale du flower power… où il met le pied à l’étrier. Ne nourrissant aucun scrupule à l’égard du mari, il se lance dans une aventure avec sa ravissante propriétaire qui, folle de lui, l’emmena, dans les règles, aux confins du plaisir. Ce fut à ce moment-là qu’il comprit les vraies joies du désir.

Londres est alors fréquenté par des gens du monde entier. Photographes, mannequins, acteurs et chanteurs se croisent, traînent, bavardent et flirtent… Les drogues, hasch et cocaïne tournent à fond…

Sur les lieux d’un tournage il est repéré parmi une masse de figurants par Luchino Visconti lui-même. Cette rencontre bouleversera l’avenir d’Helmut Berger. Réputé pour sa beauté, il devient rapidement l’amant du célèbre réalisateur, et se retrouvera dans les bras des plus grandes actrices de l’époque. Une carrière impressionnante débute.

La grande aspiration de la vie d’Helmut Berger était : « d’Être aimé ». Après la mort de Visconti en 1976, il traversera une période difficile, anéanti par la perte de celui qu’il considère comme son "mari"…

Se confiant à la journaliste Holde Heuer, l’acteur autrichien revient sur les années fastes de sa carrière et de ses turbulences. Ange ou démon, Berger n’hésite pas à se mettre à nu dans le confessionnal de son enfance.


Lien : http://lesplaisirsdemarcpage..
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Helmut Berger, autoportrait

C'est une biographie poignante dont le lecteur ne sort pas indemne et qui, surtout, donne une furieuse envie de revoir tous les films d'Helmut Berger et de Luchino Visconti.
Lien : https://www.actualitte.com/c..
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Helmut Berger, autoportrait

Je n'avais qu'une image floue d'Helmut Berger, figure un peu plastique du début des années 70 et dont la liaison supposée avec Luchino Visconti lui donnait à mes yeux d'adolescent de province un côté sulfureux. Cet autoportrait presque un demi-siècle plus tard, vient clarifier cette vision... mais était-ce vraiment indispensable ?

La première impression qui nous assaille dès les premières pages est que ce livre est une abomination. En plus d'être écrit avec les pieds, le portrait de l'acteur qui s'en dégage est d'une vanité et d'un orgueil incommensurable. Ok Helmut, tu fus beau, tu fus photographié, tu sus profiter de ce physique à la mode et en tirer profit, mais est-ce bien raisonnable de nous abreuver de ta vie de jetsetter avec morgue et suffisance tout le long de ces 300 pages ? Si l'on enlève toutes les parties nous vantant tes voyages sur les yatchs des hommes les plus riches de l'époque, croisières où il ne se passait au final rien d'intéressant à part boire du champagne et se mettre de la coke dans le nez par kilos, si l'on supprime toutes les paragraphes où tu répètes inlassablement que tu fus amis avec une telle fort riche personne ou une telle magnifique créature (homme ou femme) avec qui généralement tu as dévalisé les boutiques les plus chères du monde, si l'on déchire les pages d'autosatisfaction où tu nous assènes que tu es bosseur comme pas deux, maniaque de l'ordre et de la propreté, un décorateur exceptionnel, un ami généreux sur qui compter, il ne reste pas grand chose d'intéressant à se mettre sous la dent. Tu te déclares "la veuve de Visconti" ...pourquoi pas ? Il t'a fait tourner dans plusieurs de ces chefs d'oeuvres et tu sembles effectivement l'admirer, c'est la moindre des choses. Votre relation fut, selon ce que j'ai compris au travers de tes lignes, celles d'un vieux riche se payant (très cher) un gigolo à domicile, n'honorant son maître qu'à heure fixe, te permettant ainsi de finir tes soirées cocaïné au bras de créatures de rêve et uniquement riches. Tout cela n'est au final pas bien passionnant et surtout insupportable de fatuité. J'ai failli jeter le livre lorsque tu proclames, fier comme un paon qu'au cours d'un séjour au ski dans une station ultra huppée, tu t'es lié d'amitié avec un membre de la famille Agnelli pour avoir le privilège d'accéder à un cercle VIP uniquement composé de gens beaux ou riches...

Je n'en rajoute pas, vous aurez compris que ce livre n'est pas des plus fréquentable et pourtant... on peut quand même y trouver en creux une description du monde du cinéma des années 70/80.

La fin sur le blog
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Helmut Berger, autoportrait

L’homme jette un regard dans le miroir au tain patiné par les souvenirs d’une vie, une longue vie d’acteur à présent derrière lui.

C’est du passé maintenant, les excès sont finis, hormis les petits porte-bonheur qui l’aident à ne pas se noyer dans le flot de ses pensées. Aujourd’hui, tel un gourou, il se s’accorde plus que quelques moments forts, triés sur le volet. Aux frontières de l’ennui, même. Balançant du Festival de Salzbourg aux boutiques de la Côte d’Azur et repartant avec des valises remplies de nouvelles acquisitions, partageant encore des cérémonies de thé qui dureront des heures, agrémentées de conversations marquées par des retours en arrière.

A soixante-dix ans, il est maintenant un homme d’un certain âge, et qui assume les stigmates d’une vie faite d’excès…

La silhouette irréelle, toujours d’une l’élégance naturelle, il sera d’ailleurs nommé par deux fois « l’homme le mieux habillé du monde » par le « Women’s Wear Daily » magazine de mode américain… Lui qui, dans ses fantasmes rêvait d’être une femme fatale… fatale fut sa vie sexuelle.

Très tôt, le jeune Helmut Berger voulait devenir acteur. Ses jeux de déguisements enfantins avec les habits de sa mère ont très vite conduit les parents Berger à lui faire passer ce goût de la comédie. « Le métier d’acteur, un métier de pauvre ! » scandait le paternel en lui donnant la fessée… C’est à cette époque qu’il développera un certain « je-m’en-foutisme »… Mais toujours, lors de fêtes costumées, il était la femme fatale en collants et escarpins… Cela attristait les parents.

L’enfer lui entrouvrit les portes… Il fut placé dans l’internat d’un établissement catholique. L’enseignement était prodigué par des prêtres vêtus de noir auxquels il devait rapporter ses rêves « sales » lors des passages obligés au confessionnal. Pendant plusieurs années il souffrira de sentiments de culpabilité à cause de ses fantasmes sexuels… Ah ! Cette éternelle morale judéo-chrétienne, la culpabilité et l’expiation ! Il lui faudra des années pour se débarrasser des effets de cette doctrine. C’était l’enfer comme à l’armée.

C’est avec un diplôme hôtelier sous le bras qu’il officia dans un emploi de serveur dans un Mövenpick pour aussitôt rebondir dans un hôtel de luxe à Davos…

L’ange sortait de son cocon… L’archange allait prendre son envol.

Après un saut sur l’île anglo-normande de Jersey, en 1963, avec le concours financier de ses parents, il gagnera Londres. Londres, capitale du flower power… où il met le pied à l’étrier. Ne nourrissant aucun scrupule à l’égard du mari, il se lance dans une aventure avec sa ravissante propriétaire qui, folle de lui, l’emmena, dans les règles, aux confins du plaisir. Ce fut à ce moment-là qu’il comprit les vraies joies du désir.

Londres est alors fréquenté par des gens du monde entier. Photographes, mannequins, acteurs et chanteurs se croisent, traînent, bavardent et flirtent… Les drogues, hasch et cocaïne tournent à fond…

Sur les lieux d’un tournage il est repéré parmi une masse de figurants par Luchino Visconti lui-même. Cette rencontre bouleversera l’avenir d’Helmut Berger. Réputé pour sa beauté, il devient rapidement l’amant du célèbre réalisateur, et se retrouvera dans les bras des plus grandes actrices de l’époque. Une carrière impressionnante débute.

La grande aspiration de la vie d’Helmut Berger était : « d’Être aimé ». Après la mort de Visconti en 1976, il traversera une période difficile, anéanti par la perte de celui qu’il considère comme son "mari"…

Se confiant à la journaliste Holde Heuer, l’acteur autrichien revient sur les années fastes de sa carrière et de ses turbulences. Ange ou démon, Berger n’hésite pas à se mettre à nu dans le confessionnal de son enfance.


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Helmut Berger, autoportrait

L’homme jette un regard dans le miroir au tain patiné par les souvenirs d’une vie, une longue vie d’acteur à présent derrière lui.

C’est du passé maintenant, les excès sont finis, hormis les petits porte-bonheur qui l’aident à ne pas se noyer dans le flot de ses pensées. Aujourd’hui, tel un gourou, il se s’accorde plus que quelques moments forts, triés sur le volet. Aux frontières de l’ennui, même. Balançant du Festival de Salzbourg aux boutiques de la Côte d’Azur et repartant avec des valises remplies de nouvelles acquisitions, partageant encore des cérémonies de thé qui dureront des heures, agrémentées de conversations marquées par des retours en arrière.

A soixante-dix ans, il est maintenant un homme d’un certain âge, et qui assume les stigmates d’une vie faite d’excès…

La silhouette irréelle, toujours d’une l’élégance naturelle, il sera d’ailleurs nommé par deux fois « l’homme le mieux habillé du monde » par le « Women’s Wear Daily » magazine de mode américain… Lui qui, dans ses fantasmes rêvait d’être une femme fatale… fatale fut sa vie sexuelle.

Très tôt, le jeune Helmut Berger voulait devenir acteur. Ses jeux de déguisements enfantins avec les habits de sa mère ont très vite conduit les parents Berger à lui faire passer ce goût de la comédie. « Le métier d’acteur, un métier de pauvre ! » scandait le paternel en lui donnant la fessée… C’est à cette époque qu’il développera un certain « je-m’en-foutisme »… Mais toujours, lors de fêtes costumées, il était la femme fatale en collants et escarpins… Cela attristait les parents.

L’enfer lui entrouvrit les portes… Il fut placé dans l’internat d’un établissement catholique. L’enseignement était prodigué par des prêtres vêtus de noir auxquels il devait rapporter ses rêves « sales » lors des passages obligés au confessionnal. Pendant plusieurs années il souffrira de sentiments de culpabilité à cause de ses fantasmes sexuels… Ah ! Cette éternelle morale judéo-chrétienne, la culpabilité et l’expiation ! Il lui faudra des années pour se débarrasser des effets de cette doctrine. C’était l’enfer comme à l’armée.

C’est avec un diplôme hôtelier sous le bras qu’il officia dans un emploi de serveur dans un Mövenpick pour aussitôt rebondir dans un hôtel de luxe à Davos…

L’ange sortait de son cocon… L’archange allait prendre son envol.

Après un saut sur l’île anglo-normande de Jersey, en 1963, avec le concours financier de ses parents, il gagnera Londres. Londres, capitale du flower power… où il met le pied à l’étrier. Ne nourrissant aucun scrupule à l’égard du mari, il se lance dans une aventure avec sa ravissante propriétaire qui, folle de lui, l’emmena, dans les règles, aux confins du plaisir. Ce fut à ce moment-là qu’il comprit les vraies joies du désir.

Londres est alors fréquenté par des gens du monde entier. Photographes, mannequins, acteurs et chanteurs se croisent, traînent, bavardent et flirtent… Les drogues, hasch et cocaïne tournent à fond…

Sur les lieux d’un tournage il est repéré parmi une masse de figurants par Luchino Visconti lui-même. Cette rencontre bouleversera l’avenir d’Helmut Berger. Réputé pour sa beauté, il devient rapidement l’amant du célèbre réalisateur, et se retrouvera dans les bras des plus grandes actrices de l’époque. Une carrière impressionnante débute.

La grande aspiration de la vie d’Helmut Berger était : « d’Être aimé ». Après la mort de Visconti en 1976, il traversera une période difficile, anéanti par la perte de celui qu’il considère comme son "mari"…

Se confiant à la journaliste Holde Heuer, l’acteur autrichien revient sur les années fastes de sa carrière et de ses turbulences. Ange ou démon, Berger n’hésite pas à se mettre à nu dans le confessionnal de son enfance.


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Helmut Berger, autoportrait

Sans être bien écrite, cette autobiographie d'Helmut Berger m'a intéressée et j'ai appris beaucoup plus de choses que je ne l'imaginais à son sujet. Visconti, Delon, Berenson... Helmut Berger décrit sa vie et ses passions en courts chapitres faciles à appréhender.
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Helmut Berger, autoportrait

Si un jour vous avez aimé Helmut Berger, s'il vous plaît, ne lisez pas ce livre.
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Helmut Berger, autoportrait

Grandeur et décadence d'un homme né avec la beauté du diable.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
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