Mais ce dont l’individu est dépossédé, même dans les pays socialistes contemporains, la vraie richesse qu’il pourrait produire, c’est avant tout la connaissance. Pas seulement la connaissance scientifique, ou « culturelle », mais la connaissance de lui-même et des autres qui pourrait le conduire à inventer de nouveaux rapports sociaux, à les organiser dans une forme différente de celle qui lui est imposée.