Pour se moquer davantage encore, on les surnommait "merlans", parce que, à l'image de ces poissons enfarinés, les perruquiers étaient couverts de poudre de la tête jusqu'aux pieds, si bien qu'on se retrouvait enveloppé soi-même de particules blanches, quand, par malheur, on les croisait d'un peu trop près.