A Marcel Arland
¨Paris, le 1er juillet 1976
(...)
Attendez la fin de ma vie qui ne saurait tarder. Lorsqu'est arrivé le moment où sur le corps se désorganisant tout tour à tour devient danger grave, la chaleur de l'été, le froid de l'hiver, le manger , le mouvement, la mer, la montagne, les émotions, la lumière et les médicament mêmes, alors la fatale disparition est proche. Du moins, que je ne finisse pas gavé de mon propre nom. (p. p.125)