L’essentiel était de servir une cause abstraite et non un amour concret. L’homme qui assassinait pour servir une idée avait tous les droits. L’homme qui assassinait pour servir son intérêt personnel était un monstre. Le geste ne comptait pas, mais l’intention de ce geste. La mort ne comptait pas, mais l’utilité de cette mort. Tout était simple. Et, pour affermir les volontés chancelantes, il y avait l’alcool, la prière.