Parce que le poisson de table, du chalumot des profondeurs à la truite pimpante, de l'aristocratique saumon à la morue pleine-pâte des jours sans grisbi, suffit pas de le vider, de le débiter, de le glacer, de le transporter, de le vendre, de l'empaqueter, de le griller et de l'avaler, le petit doigt en l'air, la sauce verte dans une saucière rose et le magnum de Traminer à la portée du kolbaque, faut aussi le pêcher.