Ce qui surnage de cette période où il était si désespérément pauvre et misérable, c'est la tenue élégante et soignée, dont il ne se départait jamais .(...)
Il avait besoin de cette garde-robe. Il lui fallait conserver les apparences s'il voulait continuer à entretenir des relations, même intermittentes, avec -le monde- (p.22, Buchet-Chastel, 1976)