Il s’abstenait de prendre part aux conversations oiseuses dans la rédaction. Il considérait comme des imbéciles ses collègues qui traînassaient sans raison au bureau. Quant à ceux qui, au prétexte de la bonne entente, allaient boire un verre tous ensemble chaque soir, ils étaient pour lui des coelacanthes pitoyables. Du temps libre on pouvait en trouver autant qu'on voulait.