Je suis complètement dépourvu de véritables amis en-dehors de ceux que je connais par correspondance. Tous ceux que j’avais dans ma jeunesse se sont fait une place dans la société […]. Avec de telles personnes, un reclus maladif comme moi ne peut plus rien avoir en commun. Leur orgueilleux succès et leur prospérité affairée ne font qu’augmenter la mélancolie de celui qui a terminé sa carrière à l’âge de dix-huit ans, si le terme de « carrière » a vraiment un sens dans mon cas.
-Lettre Rheinhart Kleiner, 4 décembre 1918-