Amical,, généreux, il accapare l’attention de son bruit, de ses anecdotes et de ses récits, parle à chacun, sans gêne, à l’aise avec le fort des Halles comme avec le juge-consul...Victor tente inutilement de faire passer en lui un peu de sa volonté... comme son père, il versifie mais ne sait pas s’obstiner... Winston porte sur lui son désamour comme un couteau dans le cou... il considère avec fascination l’imminence du danger que le vernis de culture européenne avait un peu réussi à dissimuler.