Il entend la porte de sa chambre s’ouvrir doucement. Quelqu’un entre sur la pointe des pieds. Ogui l’observe. La personne s’approche, elle porte un vêtement blanchâtre. Ogui continue à la fixer et voit soudain son corps s’étirer vers le haut. Stupéfait, il la voit désormais collée au plafond.
Elle descend alors lentement vers lui ; il ferme les yeux, les ferme très fort, décidé à ne plus jamais les rouvrir. C’est le seul moyen qu’il a de faire face à la peur. Ça ne peut pas être une illusion : il a clairement entendu la porte s’ouvrir. Et puis la personne qui approche son visage du sien a une odeur familière.
L’odeur de sa femme.