J'aime ce trait simple et efficace, les visages expressifs et l'humour omniprésent.
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Une histoire qui fait apprendre à quel point la guerre est triste,mais qui parle aussi d'amour.
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Essentiellement pour le graphisme. Epatant !
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Un livre qui me laisse perplexe. Je ne sais si j'ai aimé ou non. Je ne trouve rien a redire sur cet album mais j'en suis touchée et en même temps hermétique... Un petit garçon trouve un masque, il ne sait plus qui il est.
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Encore un petit bijou qui se diapre inlassablement de couleurs bariolées. Ilya Green fait onduler ses lignes dans de douces courbures. Ses dessins achevés parent avec délicatesse et bonhomie le texte simple et plein de tendresse qui aborde l'amour entre l'enfant et son parent.
Ce livre se lit avec un plaisir certain quelque soit votre âge. Les plus petits (bébés de moins de 14 mois), sont littéralement attirés par les couleurs. Ils contemplent puis, de leurs petits doigts énergiques, pointent les personnages qui peuplent délicatement ce bel album en babillant avec joie.
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Cette histoire, qui n'est pas un conte mais en tient les ressorts, est assez surprenante à la première lecture. Il faudra sans doute un petit temps afin de laisser infuser la petite magie des mots et des images afin d'en tirer toute la substance. Il nous ait offert plusieurs niveaux de lecture possibles, nous semble t'il. Une magique et une autre plus psychanalytique, les auteurs laissant les jeunes lecteurs juges de ce qui est ou doit être. Sur la base d'un conte, l'enfant réalise que finalement, même si l'on ne choisit pas sa famille, on en apprécie les travers et probablement n'en changerions pour aucune autre au monde. Le ruisseau et sa magie offre la solution d'un moment de pause pour que le héros puisse réaliser sa chance.
Sur un autre plan plus sérieux, d'autres lecteurs noteront peut-être l'aggression que représente tout ce bruit quotidien et cette agitation comme une aliénation, Achile ne trouve pas sa place et se réfugie dans un monde imaginaire, peuplé d'un ami imaginaire. Ce refuge, qui progressivement le conduit vers l'isolement, transforme finalement l'entourage d'Achile. La scène de fin montre un Achile entouré, une famille qui lui redonne le sourire et le rassure car c'est là qu'est la clé, l'amour et l'attention que l'on se porte. Olivier Adam nous offirait-il les clefs zen contre les petites dépressions infantiles? Pourquoi pas. Qui sait? En attendant, nous nous laissons glisser doucement sur les ondes de sa rivière tranquille, admirant les illustrations de Ilya Green d'une grande beauté.
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C'est une toute jolie histoire, pleine de tendresse et de magie. Et les illustations sont magnifiques. J'aime beaucoup. C'est simple et poétique.
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