Je jouais à mes jeux solitaire sans le désir d'aucune compagnie....Penché sur mon théâtre de poupées, je laissais voluptueusement se lever le rideau sur la forêt obscure du chaperon rouge ou la salle de bal illuminée de Cendrillon. Mon jeu faisait de moi le maître de la scène, mon imagination la peuplait.