« Les rayonnages de la librairie ne cessaient de se remplir, bien que ce Don Pedro appelait « : chiffre d’affaires » augmentait chaque trimestre.
Comme Norbert Paulini avait toute la journée des livres en main, il arrivait souvent qu’au soir il avait lu la moitié ou la totalité d’un livre dont le matin même le titre , parfois même l’auteur lui étaient encore inconnus .
C’était son orgueil de lecteur et de libraire d’ancien de ne pas être pris en défaut devant ses clients » .