La plume de Jacques Derrida pourrait à son tour nous suggérer une interprétation « disphallique » de la fin textuelle : lorsque Creangă écrit, pour clore son conte, que « le pope court toujours », n'entend-il point par là signifier l'impossibilité radicale, pour le lecteur comme pour le scripteur, de sortir de l'univers phallocentrique ? (« Préface cynégétique : deux discours sotadiques vachement alertes », de Maître Luca Piţu)