Quel bonheur en découvrant les Nonoche que d'imaginer ma mère, avec un sourire coquin, écrire ces dialogues comiques. J'étais habituée aux atmosphères dramatiques, aux sujets douloureux, qui ont toujours imprégnés ses romans, à laisser remonter dans ma mémoire les souvenirs d'un passé si présent ! D'un seul coup, je ne sais pourquoi, je revois les piles de "La Petite Illustration" qui trainaient partout et qui, je pense, l'ont peut-être inspirée...
Denise Epstein