Pour vivre, il se contenterait de ce qu’il extorquait aux bordels et aux commerçants qui le payaient pour s’assurer que leur boutique ne brûlerait pas et que leurs marchandises, sacs de farine ou de légumes secs et quincaillerie, ne seraient pas aspergées d’essence. Les gars se mirent donc à discuter ouvertement de tout cela dans la rue et les tavernes.