« Puisque Vienne laissait crever ses artistes dans le dénuement, j’étais déterminée à faire en sorte que Wolfgang ne tombât jamais dans l’oubli. […] Et s’il le fallait, j’étais prête à bâtir de mes propres mains une statue à son effigie, à dessiner les plans d’un musée à sa gloire. » (p. 100 & 101)