Plutôt que de passer de la surprotection à la "confiance", je permets à mon enfant de faire ses propres expériences. Plus l'enfant sera autonome, c'est à dire capable de mobiliser son cerveau frontal pour se diriger avec ses propres lois, en anticipant le résultat de ses actions, plus il sera capable de résister à la pression de ses pairs et de choisir en conscience le comportement approprié à la situation.
Chaque fois que je le contrôle, son cerveau frontal est inactivé.
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S'il sait me dire non, il saura dire non à ses copains.