Un ton d'une liberté absolue pour rendre compte d'une longue période d’oppression.
Vingt-cinq ans de recul ont été nécessaires pour enfin mettre en mots les expériences vécues par l'auteur. Voici le début de l'histoire et du texte:
"Le 9 décembre 1956 au matin, j'embrassai ma mère (Vera rendait visite à la sienne avec les deux enfants) et je lui promis de rentrer pour déjeuner. Je tins parole, mais avec un léger retard: je suis arrivé le 20 août 1960, le matin il est vrai."
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