Tu sais, dit-il d'un ton lugubre, je n'arrête pas de penser à Salomon et au bébé qu'il voulait faire couper en deux. Si le CAFCASS avait existé à l'époque, ils lui auauraient certainement retiré la garde de ses propres enfants, sous prétexte qu'il avait menacé d'utiliser la violence contre un bébé. Quant à la vraie mère, qui préférait laisser son enfant à l'autre femme plutôt que de le voir mourir, ils auraient rédigé un rapport pour expliquer qu'elle ne l'aimait pas et l'accuser de négligence.