D'abord il y avait l'émotion réitérée de passer des textes au monde réel. Car ces noms prestigieux, qui avaient hanté, non seulement mes études, mais toute la culture de mon pays, de l'Europe, de l'univers civilisé, soudain étaient là, devant moi.
Je ne découvrais pas comme Caillois : je reconnaissais et je savourais la stupeur de cette reconnaissance.