" [...] Il n'y a pas de meilleurs lecteurs que les rêveurs.
- Ils sont inattentifs, pourtant.
- Que non point ; mon métier m'a accoutumée à les reconnaître ; eux seuls savent faire fleurir comme il convient les virtualités de l'esprit. Ce qui est écrit a besoin d'être déplié et c'est tout un art que de donner leurs aises aux mots ; au lieu de faire un effort, il faut s'abandonner, vous comprenez ?